jeudi, janvier 03, 2008

Les loges libérales du 3722 Notre-Dame, des racistes anti-québécois?

Note: voici un témoignage intéressant d'un supposé ancien franc-maçon. Impossible de savoir bien sûr si ce qu'il dit est vrai ou faux. A vous de juger.

"Bonjour anti-maçon,

Je suis un ancien membre d'une des loges qui ont leurs tenues au 3722 Notre-Dame Ouest. Je l'ai été pour quelques mois seulement.
Crois-moi, plusieurs maçons sont des Français qui ne cherchent qu'à survivre en terre du Québec. Certains avaient bien réussi professionnellement, mais plusieurs étaient en recherche d'emploi ou occupaient des emplois précaires, hors de leurs champs de compétences. En France, on leur promettait mer et monde s'ils venaient s'installer au Québec, mais une fois rendus ici, la réalité était tout autre. Plusieurs étaient frustrés de leur sort et l'exprimaient ouvertement, ce fut d'ailleurs une des raisons de mon départ. Je comprenais leurs frustrations, mais je n'avais pas à en faire les frais.

Après mon initiation avec tout ce que ça comporte, j'ai assisté à quelques tenues. Après les tenues, il y avait les agapes. Entre quelques bonne blagues, je devais endurer les récriminations anti-québécoises de ces messieurs et des quelques dames présentes. J'entendais fréquemment des commentaires assez désobligeants comme "trous de culs de Québécois" . Pendant un repas champêtre, j'ai entendu chialer contre le Québec pendant tout le repas. Je l'ai toléré (car c'est une de leurs valeurs...), mais plus tard, j'ai réfléchi, j'ai remis ma lettre de démission. J'ai exprimé mes insatisfactions à trois Fr:. Ils m'ont expliqué que ce genre de propos ne devraient pas être entendus au sein de la confrérie. Ils affirmaient en avoir discuté en loge, mais mon idée était faite. Pas de temps à perdre à réfléchir au sens symbolique d'une équerre et d'un compas. Je ne souhaitais pas devenir aussi évolué "spirituellement" que certains d'entre eux. J'avais l'impression que plusieurs vivaient au Québec sans jamais avoir quitté la France. Si une bande de français frustrés veulent passer leur temps à critiquer, qu'ils continuent, mais sans moi. Je ne voudrais surtout pas gâcher leur plaisir. Dommage, car je les trouvais sympathiques au départ. Liberté, égalité et quoi déjà???

Les politiques défendues par la F:.M:. sont souvent de gauche et pour l'étatisme. Je dirais que ce qui unit F:.M:. , féministes, militants gais, syndicats et islamistes, c'est leur lutte contre les valeurs qui ont forgé l'Occident, famille traditionnelle, richesse, esthétique, raison, etc. Ces laïcards luttent pour la laïcité, mais une laïcité qui ne vise qu'à restreindre les religions judéo-chrétiennes.

Je m'attendais à rencontrer des gens rationnels, sceptiques, mais j'ai rencontré des gens qui croyaient à toutes sortes de théories dont leurs propres mythes (hiram, constructeurs de cathédrales, templiers), homéopathie, alchimie."

8 Comments:

Blogger anti-macon said...

Le 26 novembre 2007 dernier, la ministre Christine Saint-Pierre a donné une conférence au temple maçonnique de la rue Sherbrooke à Montréal. L'information vient de l'excellent site www.garscontent.com
Bien sûr le temple maçonnique loue ses salles pour toutes sortes d'évènements, dira t'on mais on pourrait aussi dire la même chose des églises catholique. Pour moi c'est évident que l'on veut garder l,argent dans la famille...
source:
http://netfemmes.cdeacf.ca/le_calendrier/voir.php?unedate=26-11-2007

10:38 a.m.  
Blogger anti-macon said...

« L’égalité entre les femmes et les hommes, une valeur fondamentale de notre société »

Une rencontre du Réseau d’échanges, de concertation et d’influence pour les femmes de Montréal

Cette rencontre se déroulera en présence de madame Christine St-Pierre, ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine et de madame Christiane Pelchat, présidente du Conseil du Conseil du statut de la femme.

Des personnes de renom composeront une table ronde qui sera suivie d’une période d’échanges. C’est un rendez-vous à ne pas manquer! Un dîner réseautage terminera la rencontre.

SVP, réservez votre place dès maintenant en communiquant avec Sylvie Dubé au tél : 514-842-2400 poste 2491 ou à sdube@credemontreal.qc.ca

Date : Lundi, le 26 novembre, de 9h à 13h30

Lieu : Salle Mémorial, 1850 Sherbrooke, Ouest (angle St-Marc, Métro Guy-Concordia), Montréal

Pour renseignements : Michelle Issa, Téléphone : 514 279-6392 ou michelleissa@sympatico.ca

De 9:00 à 13:30

11:57 a.m.  
Blogger anti-macon said...

Le parti libéral est un habitué de l'endroit, semble t'il
http://anhonestweapon.wordpress.com/2006/12/03/goodbye-katharine-hello-black-widow-status/
I have an indelible memory of leaving Lucienne Robillard’s nomination meeting at the Masonic Temple and seeing all the cabinet ministers driving away while Dion, having been kept out of the Martin cabinet in a lame attempt to court separatist votes, walked down Sherbrooke St. alone.

5:28 p.m.  
Blogger anti-macon said...

Mario Dumont accuse le parti québécois d'être dirigé par des forces occultes mais bien entendu c'est la même choses pour tous les partis, incluant le sien...

La chef s'est ralliée à la position de Gérald Larose sur la souveraineté après avoir adopté les vues de Jean-François Lisée sur la question identitaire, a-t-il souligné. «C'est évident qu'il y a des forces occultes qui dirigent le Parti québécois.»
http://www.cyberpresse.ca/article/20080116/CPACTUALITES/801160717/1019/CPACTUALITES

11:21 a.m.  
Blogger anti-macon said...

http://www.youtube.com/watch?v=cPPvIcJY7AU

Le métro de Montréal sera bientôt "protégée" par le MOSSAD. La même cie. que lors des attentats de Londres...

11:11 a.m.  
Blogger anti-macon said...

Québec dévoile sa nouvelle politique internationale - Une mini-CIA à la québécoise?

Antoine Robitaille, édition du Devoir jeudi 25 mai 2006

Pour plaire aux Américains, le gouvernement Charest a fait une place sans précédent à la sécurité dans la nouvelle politique internationale du Québec, dévoilée hier. Il crée notamment un «centre de gestion intégrée de l'information de sécurité», une quasi-CIA québécoise.

Québec -- Alors que la question de la sécurité n'était même pas évoquée dans les politiques internationales des gouvernements précédents, la sécurité du «continent nord-américain» occupe une grande place dans celle dévoilée hier par la ministre des Relations internationales, Monique Gagnon-Tremblay.

«Elle est aujourd'hui incontournable», a-t-elle affirmé hier lors d'un discours au Conseil des relations internationales de Montréal (CORIM). «C'est un sujet extraordinairement important» dans l'après-11-Septembre, a renchéri, plus tard en journée dans la capitale, son collègue Jacques Dupuis, ministre de la Sécurité publique, en présentant sa portion de la politique.

Le Québec, y lit-on, «est fermement engagé dans la lutte contre le terrorisme, et ses efforts au cours des prochaines années viseront à raffermir ses actions, tant à l'intérieur qu'avec ses partenaires internationaux». Et pour être un «partenaire efficace, le Québec doit avoir accès à des sources fiables de renseignements sur les individus et les groupes qui pratiquent les activités terroristes et criminelles».

D'ailleurs, Jacques Dupuis a révélé que Québec créerait prochainement un centre de gestion intégrée de l'information de sécurité, qui comportera un important volet international. «On ne veut pas faire une CIA québécoise. On ne veut pas faire un SCRS centre d'espionnage fédéral] québécois», s'est défendu le ministre. «Ce qu'on veut avoir, c'est un endroit où on va recueillir de l'information qui va nous venir, en général, de sources qui sont ouvertes», par exemple les quotidiens et les délégués généraux du Québec à l'étranger. La création du centre d'information sera accompagnée de plusieurs mesures. Une équipe consacrée aux enjeux internationaux de sécurité sera mise sur pied au ministère des Relations internationales (MRI). Aussi, le Québec veut multiplier les exercices de simulation conjoints avec les États du Nord-Est américain.

Au dire des fonctionnaires du MRI, la publication d'une politique internationale «n'est pas pour consommation interne seulement». Le corps diplomatique s'y intéresse beaucoup lui aussi, «notamment les Américains», a fait valoir le sous-ministre du MRI, Denis Bédard (lui-même un ancien délégué du Québec à Düsseldorf).

Certains considèrent même que la sécurité (un des cinq objectifs clés du «plan d'action» qui accompagne la politique) occupe une trop grande place dans la nouvelle politique. Le président de la Centrale des syndicats du Québec, Réjean Parent, l'estime «disproportionnée» comparativement à celle consacrée à la lutte contre les inégalités, par exemple. «Ce n'est certes pas -- à l'instar de ce que préconisent des gouvernements conservateurs comme ceux de Harper et de Bush -- en transformant nos pays en forteresses que nous lutterons contre l'insécurité, réelle ou appréhendée», a déclaré M. Parent.

«Redéploiement»

Par ailleurs, cette politique, qui s'intitule La force de l'action concertée et qui engage une quinzaine de ministères, prévoit un certain «redéploiement» des représentations du Québec à l'étranger. Ainsi, le gouvernement ouvrira d'ici un an et demi un bureau à Mumbaï (Bombay), en Inde, et accroîtra sa présence en Chine afin de profiter de l'essor économique des pays émergents. En Amérique du Sud, un bureau sera ouvert au coeur du Brésil du Mercosur, à São Paulo. Aux États-Unis, le gouvernement a décidé de faire fi des réticences passées du fédéral et transformera son bureau de tourisme en «bureau», dont le personnel sera augmenté afin de suivre les travaux des organisations internationales. Au reste, Atlanta deviendra une délégation, Los Angeles verra ses ressources accrues alors que le bureau de Miami sera fermé. En Europe, Paris demeure la principale tête de pont, mais Munich passe du statut de bureau à celui de délégation. Même chose pour Rome, qui aura pour mandat de couvrir l'Afrique du Nord.

Notons que le gouvernement affirme aussi qu'il souhaite s'entendre avec le gouvernement fédéral, au-delà de l'accord sur l'UNESCO, pour clarifier sa participation aux forums internationaux.

Au total, les ministères québécois consacrent 350 millions par année au volet international. Pour le lancement de cette politique, on ajoutera 20 millions de dollars en trois ans.

Provincialisation

Pour Sylvain Simard, critique péquiste en matière de relations internationales et député de Richelieu, la politique québécoise consacre «l'écrasement» du Québec «devant le fédéralisme obsessif du gouvernement Harper». Selon lui, le fédéral est devenu le «sous-traitant» du Québec à l'international, lequel ne parle «plus de sa propre voix». Au surplus, la politique met trop l'accent sur l'économie. Dans les rangs libéraux hier, on murmurait que M. Simard est pourtant celui qui, comme ministre en 1996, avait présidé à une importante réduction de la taille du réseau du Québec à l'étranger. En tout, à l'époque, 13 délégations ou bureaux avaient été abolis dans le cadre de la lutte contre le déficit.

11:38 a.m.  
Blogger anti-macon said...

Tiens Pauline marois fait face à une révolte des HOMMES dans son parti et tout cela juste au moment où un sondage donne la faveur au PQ et à Pauline Marois en particulier. La semaine passé, GESCA-La Presse avait même ressucité Québec solidaire pour critiquer madamme Marois (mais seulement Amir Khadir et non Françoise David!)

http://www.cyberpresse.ca/article/20080203/CPACTUALITES/80203020/1019/CPACTUALITES

Bernard Landry, J-F Lisée, Joseph Facal mais aussi le SPQ libre (Larose et Pierre Dubuc).
Et si la grande loge du Québec qui est seulement composée d'hommes craignait une perte de pouvoir?
Une chose est certaine Pauline Marois fait soit parti d'une loge mixte ou d'une loge féminine. Or ces loges sont alliées au grand orient de France, comme par exemple, les loges du 3722 Notre-Dame ouest à Montréal. Par contre la grande loge du Québec est contrôlée depuis l'Angleterre et n'entretient pas de relations officielles avec le grand orient de France. Les deux obédiences sont en quelques sortes "ennemies" jusqu'a un certain degré. La révolte contre Marois est elle simplement une guerre maçonnique pour le pouvoir?

1:44 p.m.  
Blogger anti-macon said...

http://www.vigile.net/Cocorico-de-males-pequistes

La sortie publique de Bernard Landry sur la réforme de l’éducation n’a pas plu au chef du PQ, Pauline Marois. (Photo Armand Trottier, La Presse)

Quand il était au pouvoir et même après l’avoir quitté, Bernard Landry n’aurait jamais toléré que quelqu’un, a fortiori des membres influents de son parti, mette en cause un projet ou une politique dont il a été le maître d’œuvre. Il aurait déchiré sa chemise sur la place publique en déplorant le manque de solidarité ou de loyauté.

On se souvient de ses réactions, ainsi que de celles de la presse, quand Pauline Marois avait déclaré être prête à participer à une course à la direction du Parti québécois, alors que Bernard Landry laissait courir les rumeurs de son éventuel départ, histoire de mesurer l’importance des allégeances. On sait comment il a fait payer à Pauline Marois sa sincérité. Plusieurs se rappelleront longtemps le rôle soi-disant neutre de Bernard Landry dans la course à la chefferie. « N’importe qui sauf Pauline », cela vous dit-il quelque chose ? Cet homme qui semble s’ennuyer du pouvoir ne peut s’empêcher de revenir périodiquement à l’avant-scène de l’actualité. Aussi a-t-il trouvé une nouvelle occasion de faire un croc-en-jambe à Pauline Marois comme il en avait fait quelques-uns à André Boisclair. Bernard Landry n’a jamais digéré l’humiliation qu’il s’est lui-même infligée à un congrès du Parti québécois quand il a démissionné parce qu’il avait reçu un appui de 76 %. Trop peu pour lui. Depuis, il ne peut se résigner à rester dans l’ombre des projecteurs et il ne cesse d’embarrasser ses successeurs à la direction du PQ. Espère-t-il qu’on le regrette ?

Voilà qu’avec trois autres coqs péquistes aussi imbus que lui de leur importance, il s’attaque à la réforme de l’éducation que Pauline Marois a mise sur pied il y a une dizaine d’années. Ils réclament un moratoire. Même le vice-président du parti, François Rebello, participe à cette opération. Il semble que le devoir de réserve n’existe pas pour les hommes péquistes. Imaginez ce que l’on aurait dit si Monique Richard avait eu une semblable attitude envers Bernard Landry, André Boisclair ou le chef actuel. Quant à Jean-François Lisée, il n’est pas sorcier de constater qu’il suit un agenda personnel. Reste Joseph Facal, qui joue à peu près sur tous les tableaux en se posant en expert, et qui, comme ses collègues, semble beaucoup aimer la place publique. La politique est un théâtre grisant que ses acteurs ont peine à quitter. Le quatuor de coqs péquistes n’a rien d’original à nous apprendre, il ne fait que chanter en choeur pour accompagner la rumeur publique, en même temps que se poser en penseurs. Ils ont beau s’en défendre, c’est au leadership de Pauline Marois qu’ils s’en prennent, ce qui ne surprend guère d’un parti au sein duquel tout le monde se prétend meilleur que son voisin, et surtout que sa voisine. Si Pauline Marois réussit à maintenir le cap, ce sera en dépit de ces adeptes de la magouille qui prennent les trains en marche : Mario Dumont et Québec Solidaire font partie du même convoi.

Je ne suis pas experte en éducation, mais je ne doute pas qu’une réforme élaborée il a 10 ans ait besoin d’ajustements. S’il y a eu dérives, qu’on corrige la situation sans « jeter le bébé avec l’eau du bain », pour emprunter une expression chère aux personnages publics et aux médias. (…)

Ce qui m’horripile, ce sont les techniques de déstabilisation que pratiquent « des mâles de l’espèce péquiste » depuis l’arrivée de Pauline Marois à la direction du Parti québécois, et même avant. Et qu’on n’essaie pas de me faire croire que cela n’a rien à voir avec le sexe et la personnalité de la personne en question. Il ne s’agit pas de membres inconnus du PQ mais d’hommes influents parfaitement conscients des conséquences de leurs critiques sur l’autorité du chef péquiste. Les médias sont remplis depuis plusieurs mois des « trouvailles » des uns et des autres, on se demande pourquoi ces « trouvailles » ne sont pas discutées au sein du parti avant de faire les manchettes. À moins que ce ne soit parce que des coqs, par définition, ont besoin de se faire voir et de se faire valoir.

À la place de Pauline Marois, je demanderais d’abord à François Rebello de choisir entre sa loyauté à un parti dont il assume la vice-présidence et ses autres allégeances. Et je balancerais tous ces penseurs prétentieux qui guettent l’heure où elle glissera sur les pelures de banane qu’ils lui tendent, pour ensuite se proposer, « bien humblement », comme sauveurs de leur parti.

***

Micheline Carrier

L’auteure est éditrice du site Sisyphe (sisyphe.org) où on peut retrouver la version intégrale de son texte.

11:57 a.m.  

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